Directrice associée et co-fondatrice de Silamir
Avril 2018
Diplômée de Sciences politiques, Juliette Soria débute sa carrière comme auditrice financière chez Mazars et devient par la suite consultante dans plusieurs cabinets d’audit ; ce qui l’amène à croiser le chemin de sa future associée chez Silamir, Muriel Figer.
Ensemble, parallèlement à leur activité dans le conseil, elles fondent Sekkia en 2006, un opérateur global de services à la personne pour les salariés en entreprise. Puis, elles se lancent à 100% dans une nouvelle aventure entrepreneuriale, celle de Silamir, qui voit le jour en 2011.
Le groupe Silamir accompagne les entreprises dans leurs grands projets de transformation, digitale ou non, par le prisme de l’Expérience (client et collaborateur).
« Nous possédons une approche pluridisciplinaire qui consiste à allier la réflexion stratégique et opérationnalisation des feuilles de route avec des compétences en design, en tech, en data, en stratégie… Nos profils sont très diversifiés », précise Juliette Soria.
En 6 ans, Silamir est passé de 2 à 100 personnes, et continue de croître. « Nous travaillons pour de grands groupes et ETI issus de secteurs variés, complète-t-elle.
Nous recherchons actuellement
à diversifier notre offre avec des acteurs issus de la tech, c’est un secteur
en perpétuelle mouvance où chaque nouvelle technologie est à comprendre et
intégrer. »
C’est dans ce contexte de développement
croissant que le mentorat s’est présenté comme une opportunité à ne pas
manquer. Après une première expérience avec l’Institut du Mentorat
entrepreneurial (IME) en 2014, Juliette Soria rencontre Martine Liautaud à
l’occasion d’une soirée BNP Paribas. Elle débute alors le programme WIF fin
2017, avec, pour mentor Laurent Kocher, Directeur exécutif chez Keolis.
« J’échange tous les mois avec Laurent
Kocher sur les grandes problématiques et enjeux qui nous animent chez Silamir ;
sa posture neutre et bienveillante nous apporte beaucoup pour élaborer notre
vision stratégique. »
Depuis, Juliette Soria a à cœur de transmettre
cette culture du mentorat à son entourage, et parvient même à fédérer plusieurs
personnes autour de cette conviction. « J’aime l’idée de pouvoir
transmettre ce que l’on m’a donné ; c’est pourquoi je souhaite m’engager à mon
tour pour aider d’autres entrepreneurs ».Pour en
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